Trouble vécu par
le sujet 1
Afin de combler sa fatigue et de récupérer son sommeil après les
expériences effectuées nécessitant de longues périodes d’éveil, le sujet 1 a
effectué de nombreuses et longues siestes. Il a particulièrement dormi le
dimanche 03/01/13 : de 10 heures à 12 heures et de 15 heures à 18 heures.
Ainsi dans la nuit entre le 03/11/13 et le 04/01/13 a été mauvaise pour le
sujet 1. Il s’est mis au lit à 22 heures mais n’a pas réussi à trouver le
sommeil. Il s’est levé et s’est recouché à minuit, mais il ne parvint toujours
pas à s’endormir. Il a tenté de fermer les yeux, mais tout ce qu’il fut, fut de
se retourner plusieurs fois dans son lit. A 2 heures du matin, il a senti des
signes de fatigue : difficulté d’effort physique et bâillement répété
ainsi que yeux rouges. Il a tenté de se rendormir mais il n’a pas réussi. Il ne
trouva le sommeil qu’à 4h30 du matin et dormi d’un sommeil léger jusqu’à 8H00.
Le lendemain, il ne fit pas de sieste et se recoucha à 22 heures et cette
fois-ci, il parvint à s’endormir facilement.
Le sujet 1 a donc en conséquence de ses expériences et de ses siestes
été confronté à une insomnie passagère.
C’est un trouble du sommeil qui peut être
caractérisé de manière assez subjective, cependant il est le plus souvent
défini par : des difficultés d’endormissement, des réveils dans la nuit,
un réveil définitif trop précoce et un sommeil agité.
Trouble vécu par
le sujet 2
Le sujet 2 n’a eu recourt à aucune tentative précise pour récupérer son
sommeil. Il s’est couché à ses heure quotidiennes et a été confronté à un
sommeil plus long que l’habituel : dans le nuit du 04/01/13 au 05/01/13,
il a dormi de 22 heures à 13 heures. On note que son réveil e été difficile et
désagréable et que durant la journée, il était sans cesse fatigué et,
n’arrivait pas à être en forme : il lui était pénible de faire une
activité physique, de parler, et il avait aussi des difficultés de
concentration.
Ces symptômes ne sont associés à aucun trouble particulier du sommeil.
Trouble vécu par
le sujet 3
Le sujet 3, pour récupérer son sommeil après les expériences a lui aussi
eu recourt à la sieste. Il en a effectué une le 04/12/13 à 16h, et a été
confronté à un phénomène inhabituel mais déjà vécu. Il s’est allongé et endormi
vers 16h40. Il se réveillé au moment ou il se tourna sur le dos. Il n’arrivait
plus à bouger aucune partie de son corps. Il avait ouvert les yeux et était
conscient, cependant, il lui était impossible d’émettre un son. A cela s’ajoute
le fait qu’il avait du mal à respirer et l’impression de suffoquer. Cela dura
cinq secondes avant que le sujet ne sorte de son atonie musculaire et puisse à
nouveau bouger, parler et respirer normalement.
Ces symptômes ont déjà vécu
quelques mois auparavant et sont révélateurs de la paralysie du sommeil. Ce trouble est associé au sommeil paradoxal :
ce qui explique la paralysie. Le sujet est conscient, réveillé mais dans
l’impossibilité d’effectuer un quelconque mouvement. La durée de cette
paralysie peut varier de quelques secondes à quelques minutes. La personne
après cela, revient à son état normal, soit toute seule soit par stimulation de
l’extérieur. L’atonie musculaire est expliquée par le fait que la paralysie se
déroule dans le sommeil paradoxal : phase caractérisée par l’absence de
tonus musculaire. Cette absence de tonus musculaire elle même expliquée par le
fait que le plus souvent le rêve se déroule durant le sommeil paradoxal :
et pour garantir la sécurité du sujet : pour ne pas qu’il reproduise les
gestes de son rêve en réalité, le cerveau envoie un message nerveux au corps
pour qu’il ne bouge plus.
Le fait que le sujet ait vécu ce trouble est lié au
manque de sommeil l’ayant perturbé.
Conclusion
Quelque soit le moyen de récupération, les sujets
ont tous été confronté à un événement inhabituel dans leur sommeil, ou dans
leur journée. Cela signifie que le manque de sommeil a des conséquences sur un
temps plus ou moins long au niveau de l’organisme : lorsqu’il est déréglé,
il est difficile de le remettre en place.
© tpeofmydream
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